[...] Je ferme les rideaux et je lis. Je lis pour ne pas mourir. Je lis avec l’avidité d’un condamné à mort à qui on vient apporter son dernier repas. Je lis comme un forçat. Je lis comme d’autres boivent pour oublier. Je convoque mes auteurs de chevet et je leur demande l’asile littéraire. Ils me […]
novembre 2015 (1)
vendredi 20 novembre 2015
Au commencement était le verbe
vendredi 20 novembre 2015 Livres pliés : en mots